Une demande qui progresse de l’ordre de 3 % chaque année. Réunis à l’occasion du congrès « Urgences 2013 » à Marrakech, les professionnels du secteur ont tenu à reconnaître les progrès récemment enregistrés, notamment en termes d’infrastructures et de matériel. Ils ont cependant pointé le déficit en ressources humaines et l’absence de protocole de prise en charge. Autre demande, la mise en place d’un système de régulation. « Aucun progrès ne sera fait sans affirmer le rôle prépondérant de la régulation médicale dans la prise en charge initiale des urgences, leur orientation et leur maîtrise », ont-ils déclaré.
Source : L’Economiste
26 février 2013