« Le tribunal de première instance a estimé que le président sortant n’avait pas qualité à provoquer des élections à la tête du Conseil. De plus, l’appel à candidature portait sur 8 sièges sur 16. Or, les élections devraient toucher l’ensemble des sièges du bureau sortant », indique un article publié par le quotidien « L’Economiste ».
Source : L’économiste
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20 mai 2013